UEH crise : Une clique d'étudiant ferme à nouveau les portes de l'INAGHEI.

 Le mardi 21 novembre l'INAGHEI fait la Une des médias sociaux, ils étaient environ d'une quinzaine d'étudiant à manifester dans les locaux dudit institut pour réclamer une fois de plus la tenue des élections. Des graffitis éparpillés, des propos insalubres, ils ne veulent pas de ce décanat jugé insignifiant et encore ad intérim.

Un espace vidé de ces étudiants, from E. Frane ⭐, 25 Nov.2022

Sous la demande de plusieurs étudiants, le jeudi 03 novembre une annonce a été faite pour rouvrir la section administrative en vue d'une obtention de diplômes ou de certificat. La situation sociopolitique du pays se rencontre à celle de l'institution. Dans ce carrefour, seul le compromis entre les dirigeants peuvent nouer à un dénouement heureux.

Après plus de 6 semaines que le pays était en sédition, quelques étudiants de l'INAGHEI manifestent leurs mécontentements   suite à la réouverture timidement de l'institut. Ils étaient environ d'une quinzaine à protester pour une élection mais pas pour une réouverture de l'établissement, l'équation se veut la présence des étudiants ainsi que la réouverture de l'institution pour une organisation d'élection. Pour un ancien de l'espace, "INAGHEI compte près de 4500 étudiants, les actes des ces quelques étudiants sont dits vagabondages" il rajoute certains d'entre eux sont dans le circle court.

" Robert est un salaud et corrompu" déclare l'étudiant en sciences politiques Fritz Pierre sur un médias en ligne. Le problème laisse le salon de l'UEH pour aller se promener dans les médias sous le silence du rectorat.

Au vu des écritures graffiter sur les murs du local on accuse le doyen " où sont les 20 millions de gourdes?" sur une autre image " INAGHEI n'est pas DGI". L'ancien directeur de la DGI jusqu'à présent est resté dans son silence. Cette affaire n'est pas simple a fait remarquer un étudiant, il peut être l'affaire des trois doyens... Ils se lancent dans une guerre de déstabilisation. Selon nos informations, dans un groupe où se trouvent les trois doyens qui coiffent l'institution, des textes du genre " quel est votre niveau d'études, vous n'êtes pas la hauteur, vous n'avez pas de doctorat" sont à l'origine parfois des débats stériles et controversés.

Une guerre de trois

Après 8 ans en fonction comme doyen, Joseph Robert souhaite briguer un 3 ème mandat. Sous une pluie de critiques certains alliés sont passés à l'opposition. Ces alliés réputés comme belligérants qui sont des éternels étudiants pour certains. Ils passent à l'offensive pour une éventuel démonstration. Dans le jeu doyen et vice doyen s'ajoute une figure neuve madame Dubique qui voudrait se faire une place. D'entré jeu, il y a plusieurs semaines de cela des étudiants qui se réclament partisans du Docteur Elinet ont semé la pagaille dans une activité de Prefac. Pendant que l'aspect académique est négligé, ceux dont la mission étaient de faire progresser l'institut sont entrain de s'entre déchirer.

Une tentative non effective

Dans une note rendue publique, le 21 novembre faisant mention "d'un délai d'un mois et demi accordé aux professeurs de l'année propédeutique pour boucler leurs programmes...en attendant un nouveau calendrier d'une reprise à la normalité" le professeur Josué Louis tente une réouverture timidement de l'établissement. Suite à cette note, une clique d'étudiant décident de jouer à l'offensive. À noter bien, environs quelques mois de cela des anciens étudiants parce qu'ils ont déjà soutenu leurs mémoires étaient entrain de manifester et se réclame  partisans d'un candidat qui était leurs lecteurs critiques de mémoire pour la plupart.

Le patrimoine qu'on doit sauvegarder est devenu un dépotoir où les intérêts mesquins priment sur ce d'académiques relate un étudiant le vendredi 25 novembre et promet de donner une réponse lundi qui sera 28 novembre.

Pendant que le rectorat joue aux échecs et mats en concentrant les entités dans leur gonds aux fins de se faire réélire la situation délétère aux entités avec plus de  cinq entités ad intérim. " INAGHEI se trouve à un point de non-retour" raconte un ancien étudiant, il s'ensuit de " École Nationale des Hautes Études Internationales (ENHEI) à l'Institut National d'Administration,de Gestion et des Hautes Études Internationales (INAGHEI) c'était une période de gloire, les crèmes qui formaient la BNC provenaient dudit institut. en revanche faut-il laisser sans impuni des gens qui ternissent l'image du patrimoine. Tout le monde se pose des questions.

📝 Par Emmanuel FRANEZIL, politologue et journaliste en formation.

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